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 INQUISITOR - ft Marilyn, Jed, James

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Rearden C. Wilkerson
Rearden C. Wilkerson

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ϟ Métier : Grand Inquisiteur, anciennement tireur d'élite ϟ Âge : 53 ans ϟ Race et sang : Moldu ϟ Statut civil : Veuf

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ϟ Messages : 47 ϟ Date d'inscription : 29/12/2017 ϟ Disponibilité RP : Ouverte ϟ Célébrité : mads mikkelson ϟ Crédits : perso

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MessageSujet: INQUISITOR - ft Marilyn, Jed, James   INQUISITOR - ft Marilyn, Jed, James Empty25.03.18 18:07


Inquisitor
ft Marilyn, Jed, James


Rearden baissa les yeux sur le document qu’il tenait dans ses mains. La chemise en papier cartonnée grise était granuleuse au toucher, légèrement cornée dans un angle, avec une grosse tache de café délavée au centre. Le bout du ruban noir qui la maintenait fermé commençait à se défaire, laissant visible les nombreux fils qui le constituait. Rearden eu presque envie de tirer dessus, sur chacun des fils un par un pour défaire le ruban, décomposer une par une les trames de la fabrique, mais Rearden n’avait pas de temps à perdre avec ça, et il se résolu à regarder avec plus d’attention le tampon rouge frappé d’un « confidentiel » que sur le ruban noir avec ses fils perdus.
Il était plus que temps de si mettre.


D’un geste plus théâtral qu’il l’aurait souhaité, Rearden posa le dossier sur son bureau en le faisant claquer. C’était un « clac » fort, sec, un de ceux qui vous font sursauter ou tourner la tête, peut être parce qu’ils font penser à un coup de fouet, ou à une balle tirée.
Sans rien paraitre, Rearden s’installa dans le fauteuil qui était désormais le sien depuis vingt quatre heures. Il était confortable ce fauteuil. C’était un fauteuil en cuir noir, rembourré comme il fallait pour permettre à son hôte de ne souffrir d’aucune gène malgré les heures passées dedans. Pourtant, il y avait quelque chose qu’il n’aimait pas dans ce fauteuil, ni dans ce bureau, ni dans les étagères qui étaient accrochées aux murs, ni dans cette pièce, comme si chacun des meubles lui reprochait son installation. Il se sentait épié, observé, critiqué sans cesse par le mobilier. Bien sur, il avait fait inspecter la pièce de font en comble dès son arrivée pour vérifier qu’on y avait laissé ni caméra, ni micro mais à sa grande surprise, l’endroit était clean. La crainte tout comme la menace ne se trouvait que dans les rouages paranoïaques de son vieux cerveau, mais comme Rearden pensait souvent, il valait mieux être trop prudent que de se faire avoir comme de la bleusaille.

Alors qu’il s’installait, il leva les yeux et croisa un regard. C’était le portrait photographique d’une femme qui n’avait pourtant jamais été la sienne. Elle était belle, forte, le regard à la fois dur et bienveillant. Le visage de Cécilia Barbosa ne souriait pas, ou alors si imperceptiblement qu’on aurait su le dire avec certitude. Il avait bien faillit décrocher le cadre du mur, il avait bien faillit tout jeter à la benne, mettre à la porte tous ces cloportes incapables, ces conseillers moins avisés que sots, ces députés mous et avides de belles maisons et de retraites bien grasse. Rearden les méprisait tous, ils lui donnaient l’envie de vomir, et pire encore étaient ceux qui ayant travaillé pour les Barbosa se tournaient à présent vers lui, maintenant qu’il était la nouvelle tête du serpent.  S’il avait eu moins de jugeotte, il aurait éjecté tous ce beau monde et les meubles sournois avec. Mais Rearden savait que ce n’était pas dans la précipitation qu’on réussissait son meilleur tir. Alors Rearden avait gardé les meubles, il avait aussi gardé les vieux conseillers, pour le moment, jusqu’à trouver une parade acceptable pour l’opinion publique. Et le visage de Cécilia était resté sur le mur en face de lui. Dans le fond, ce visage ne le dérangeait pas, ce visage en face du sien, comme dans un dialogue muet, il lui rappelait un peu pourquoi il faisait tout ce qu’il faisait, il lui rappelait le pourquoi de leur combat dont il devait désormais être le porte-étendard contraint. Garder ce portrait était aussi une bonne façon de montrer le respect qu’il avait toujours porté à la seule vraie Grande Inquisitrice qu’il avait connu, et non à une gamine colérique pervertie par les idées parasitaires d’Hopkins. Encore que… il lui arrivait souvent de se demander si Cécilia elle-même n’avait pas été plus que la marionnette de ce faux-sorcier tombé dans la décrépitude.
Enfin, tout cela était du passé à présent, et Rearden était à présent tourné vers l’avenir.

On toqua à la porte et une femme d’une trentaine d’années, d’une allure soignée et l’air sérieux mais enthousiaste entra. Elle portait une pile de dossier qu’elle vint déposer sur le bureau de son patron.

« Les documents que vous avez demandé Monsieur. »
« Merci mademoiselle Balrick, ce sera tout… veillez à ce que personne ne nous dérange voulez-vous ? »
« Bien sur Monsieur. »

La femme brune à la courbure de rein appréciable prit la direction de la sortie sans demander son reste, en faisant claquer sur le sol du bureau ses talons hauts. Cela faisait longtemps que Rearden connaissait la jeune femme, elle était la fille d’un couple de soldats avec qui il s’était battu à l’époque où il se battait encore. Elle était totalement acquise à la cause, et Rearden, appréciant depuis longtemps son esprit vif, lui avait proposé ce poste d’assistante attachée au bureau du Grand Inquisiteur, proposition qu’elle avait immédiatement accepté. Il avait besoin de s’entourer de personne comme elle, du sang neuf, des esprits inspirés et facilement malléables, des jeunes gens intègrent et pas encore corrompu par l’appât du gain ou par le système.
Voyant que Jedediah lui aussi suivait du regard le départ de la jeune femme qui claqua la porte derrière elle, il reporta son attention sur celui que beaucoup voyait comme son bras droit, puis sur Marilyn, la blonde sulfurique, et enfin sur son fils James. Tous les trois étaient installés face à lui, de l’autre côté du bureau qui marquait désormais une frontière entre eux.
Pendant encore quelques secondes, Rearden les observa, silencieux. Rearden avait beaucoup réfléchi pendant ces vingt quatre dernières heures, Rearden avait même beaucoup réfléchi ces dernières semaines, ces derniers mois, et il était temps d’agir pour Rearden. Une partie de lui savait qu’il pourrait compter sur eux, une autre partie, bien plus importante, ce méfiait d’eux comme du reste. Il se méfiait de Jedediah, qui tout fidèle qu’il était pouvait aussi bien retourner sa veste et le trahir. Il se méfiait de Marilyn, car elle était unique et forte, une femme de caractère et donc difficilement influençable, capable elle aussi de remettre sa place en question. Mais plus que tout Rearden se méfiait de son fils. Son propre fils, cet homme qu’il avait fait homme et pourtant qui lui ressemblait si peu tout en étant son reflet déformé. Rearden était à son sujet en permanence balancé entre une pointe de fierté secrète face à une montagne d’appréhension. Avec James, on ne savait jamais quand arriverait la nouvelle boulette, mais on savait qu’elle arriverait. Mais il n’était plus question aujourd’hui que de pareils enfantillages dont ils les avaient rendus coutumier se reproduisent. James allait devoir montrer qu’il était enfin un adulte, enfin un soldat digne de l’inquisition et digne de son père.

Prenant une profonde inspiration, Rearden croisa les doigts de ses mains et prit enfin la parole.


« Bien, il est temps de s’y mettre. Tout d’abord, et vous savez à quel point j’exècre ce genre d’effusion sentimentale, je tiens à vous remercier du travail que vous avez accompli pour la cause, et pas uniquement ces deux dernières semaines. Cette victoire est surtout la vôtre, ainsi qu’à tous ceux qui nous ont soutenus. Sans vous tous, sans ceux qui ont cru en notre combat, nous serions encore sous le joug de Barbosa. » Il fit une courte pause pendant laquelle il vit des sourires apparaitre aux coins des lèvres de ceux qui lui faisaient face. Lui-même était comme d’ordinaire, d'une impassibilité de marbre. « Mais gagner ces élections ne représente rien si nous n’agissons pas, et je pense je vais encore une fois avoir besoin de vous, à condition bien sur que vous acceptiez de donner une fois encore votre temps pour la véritable cause inquisitoriale. » Une nouvelle pause. Rearden eu les réponses qu’il attendait. Ils n’avaient pas trop le choix de toute façon, ils savaient ce que Rearden faisait des traitres et des lâches. « Comme vous avez pu le remarquer, les résultats ont été plus que serrés entre Barbosa et nous, ce qui m’incite plus que jamais à faire preuve de plus de prudence. Notre place n’est pas encore acquise et nous devons absolument nous méfier de ceux qui chercheront par tous les moyens à nous nuire. Pour cette raison, il me semble essentiel de reprendre immédiatement la main sur les médias. Je veux mettre dans les jours à venir des gars à nous à la tête des services de télévisions et des journaux inquisitoriaux. Voici une liste de noms auquel j’ai pensé et je souhaiterai votre avis. » Ouvrant un des dossiers que son assistante venait de lui apporter, il en sortit une feuille sur laquelle des noms étaient tapés à l’ordinateur. D’un geste lent, Rearden la tendit à Marilyn afin qu’elle puisse y jeter un coup d’œil. Puis, recroisant les doigts, il posa ses coudes sur les accoudoirs du fauteuil confortable mais vicieux et s’adossa. « Il va falloir très vite convaincre ceux que nous n’avons pas pu toucher pendant cette campagne expresse et qui sont encore frileux à l’idée de nous soutenir. Je veux que les journaux montrent le progrès, des sourires sur les visages, des ouvertures d’école, les actions faites pour aider les handicapés et les personnes âgés, les dons à telle ou telle bibliothèque, le tout entrecoupé de ce qu’il se passe au dehors de nos frontières, les attaques, les accidents magiques, les vampires, etc. Nous devons les convaincre de rester, qu’ils sont plus en sécurité ici. Et surtout, je ne veux pas que le sujet « Barbosa » soit évoqué, à part pour dire qu’elle va bien et qu’elle cherche encore une reconversion. Aucune diabolisation, aucun détractage. Je veux qu’on l’oublie, et surtout je ne veux pas donner une raison à ses partisans de nous haïr encore plus et de risquer une rébellion. Montrons-nous sport, et surtout plus civilisés qu’eux. » Au fond de lui, Rearden aurait bien aimé trainer cette petite pleurnicharde dans la boue, il aurait adoré voir un flash télévisé révélant en exclusivité la nature réelle de celle qui pendant tant d’année leur avait tous menti. Mais le temps n’était pas encore venu, et Rearden gardait encore cette carte dans sa manche, attendant le bon moment, le moment parfait pour enfin la jouer. « Je souhaite reprendre l’équipe que nous avions pendant la campagne afin de montrer un bureau chargé de la communication et de la propagande, je pensais à Jacobs notamment, ce petit a du talent. Ils auront pour tâche de créer dans les plus brefs délais une nouvelle campagne de communication anti-magie.  Dans un premier temps, je souhaite que nous nous concentrions sur la partie sociale de notre programme, ça permettra peut être d’effacer plus rapidement l’étiquette négative qu’ils ont voulu nous coller et apaiser les plus réticents. Je dois voir dès cette après-midi le ministre de la santé pour discuter un nouveau régime de sécurité sociale, et demain je dois m’entretenir avec le ministre de l’éducation, James, j’aimerai que tu m’y accompagnes. Nous devons absolument revoir certains points de nos programmes scolaires, et revoir également les modalités de recrutement de nos enseignants. Il est primordial d’éduquer les plus jeunes à reconnaitre, identifier, et surtout combattre la menace magique. En parlant de cette menace, il va falloir être extrêmement précautionneux dans les mois à venir. » Son regard s’attarda vers Jed, puis James, appréhendant les réactions des deux hommes. « Je sais que vous ne vous en préoccupez guère, mais l’opinion publique est contre nous, et je ne souhaite pas rendre les clefs de ce bureau avant d’avoir entièrement remodelé notre système à l’image que nous souhaitons lui donner. Je ne veux donc PAS de jeune sorcier tabassé par des soldats de l’inquisition au JT de 20h, ça serait une porte ouverte à quelque chose pour lequel nous ne sommes pas prêts. En revanche, je souhaite que le passage aux frontières soit durci à son maximum. Il est impensable que dans notre état, ou même au sein des murs de notre commandement puissent circuler des sorciers, même envoyé par Washington. Nous ne traiterons à présent qu’avec des gens corrects et exclus de toutes divergences magiques. Il va également falloir durcir la tolérance pour les membres de famille éloignée, et descendant cracmol de sorciers, il va de soit que ce genre de personne ne peuvent prétendre à prendre place dans notre faction et même se reproduire avec des gens normaux. Une liste de documents précis devra être présentée afin de pouvoir entrer sur nos territoires. » Rearden sortit un nouveau document qu’il leur fit passer. « Il va également falloir augmenter la présence militaire dans les zones à risque et les zones de frontière, ce qui veut dire plus de recrutements, et plus de formations. C’est là que je vais très certainement avoir besoin de vous. Coincé dans ce bureau, je ne pourrais pas superviser ce point essentiel de notre projet. Il va falloir faire un nouveau tri dans les affectations, placer nos pions à notre meilleur avantage, écarter progressivement ceux qui ne seront que des cailloux dans nos bottes. Je veux pour dans six mois une armée formée à l’élite, entièrement dévouée à notre cause, et prête à agir. » Rearden regarda les trois autres protagonistes de la scène qui était en train de se jouer. Ce qui se passerait dans six mois, il le présageait déjà dans son esprit, mais pour le moment il fallait attendre, attendre que le temps vienne de faire marcher la puissance inquisitoriale, le temps de voir les sorciers trembler face à leur nouvelle destiné. « Qu’en pensez-vous ? » De toute façon, ni eux ni les autres n’avaient désormais plus le choix. La machine était lancée.

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Marilyn Wagner
Marilyn Wagner
Atomic Blonde

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ϟ Métier : Soldat ϟ Âge : 40 ans ϟ Race et sang : Humaine ϟ Statut civil : Veuve & volage

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MessageSujet: Re: INQUISITOR - ft Marilyn, Jed, James   INQUISITOR - ft Marilyn, Jed, James Empty07.05.18 15:30


Inquisitor
ft Rearden, Jedediah, James

Il y avait quelque chose de fortement grisant qui planait dans l'air. Une impression encore plus enivrante que l'alcool, encore plus stimulante que la caféine. Il y avait tant à dire, tant à faire maintenant que la victoire était officiellement leur. Marilyn ne se serait certainement pas avouée vaincue même si le résultat avait été contraire, mais prendre l'avenue démocratique était tellement mieux. Ses doigts agiles venaient replacer ses cheveux alors que derrière elle, la porte se refermait, lui confirmant qu'ils étaient enfin seuls tous les quatre. La présence de la jeune femme en soit ne la dérangeait en rien, sa confiance allant naturellement envers ceux que Rearden jugeait convenable, mais elle préférait de loin être en comité restreint. Pour tout dire, cette rencontre serait encore mieux s'il n'y avait pas le fils présentement. Marilyn avait beau avoir une certaine affection pour James, elle le considérait comme élément imprévisible. Elle tentait donc au mieux de garder une bonne relation avec lui, s'assurant que ses mots trouve un certain chemin dans l'esprit du blond et qu'ainsi elle ait une chance d'avoir un certain contrôle.

Reportant son regard contre Rearden qui siégeait fièrement sur le siège dirigeant, Marilyn attendait silencieusement et patiemment de découvrir tout ce qu'il avait à leur partager. La blonde ne ressentait aucun malaise dans le silence qui régnait, bien au contraire. C'était même sécurisant, rempli de ce contrôle rassurant que seul Rearden Wilkerson pouvait dégager avec autant de puissance. Elle même n'aurait jamais cru en venir à se ranger derrière un homme avec sincérité et conviction, elle qui se plaçait normalement dans cette position que pour pouvoir mieux les détruire dès que l'occasion se présenterait. Mais cette envie destructrice elle ne l'avait pas envers les hommes présents dans la pièce. Son menton s'était légèrement soulevé lorsque le nouveau Grand Inquisiteur prenait la parole. Prenant ses remerciements et compliments qui ne quittaient que très rarement les lèvres du blond, Marilyn sourit tout en hochant légèrement la tête. Un mouvement qui fut sa seule réponses aux rares paroles. Aux yeux de Marilyn, la question ne se posait même pas sur ses intentions futures. Elle n'aurait jamais mis tout ce temps et cette énergie pour s'asseoir et ne rien faire dès que la victoire serait la seule. Elle ne prononça aucune réponse à voix haute, mais son regard était plus criant que n'importe quelle parole.

Soulevant sa jambe droite afin de venir la croiser par dessus sa jambe gauche, Marilyn se redressait légèrement, prête à découvrir ce qui les attendait. Un sourire éclairait d'ailleurs le visage de la blonde à l'idée de s'assurer que des postes importants dans les médias soient occupés par leur sympathisant. S'approchant, elle tendait le bras et venait saisir la feuille que lui tendait Rearden, laissant son regard balayer les noms qui s'y trouvaient, un amusement particulier en voyant celui qui deviendrait en charge de la chaîne principale télévisuelle.

« Je crois que ce sont d'excellents choix. »

Tendant la feuille ensuite à Jedediah, la blonde était heureuse de savoir qu'en cas de problème, elle n'aurait absolument aucun problème à aller chercher les réponses à aux moins l'un d'entre eux. Son charme ayant prouvé à plus d'une reprise sa bonne opération sur l'homme. Il était totalement dévoué à leurs idéaux et même s'il en venait à souhaiter changer de direction, elle pourrait s'assurer de le prévenir et de faire en sorte que ça n'arrive pas. Une observation qu'elle se gardait bien loin de communiquer pour le moment, ayant des points sans doute beaucoup plus importants à aborder. Comme toujours, elle était impressionnée par la façon de faire de l'homme qui dirigeait leur parti. Prendre le contrôle des médias pour se faire voir d'une façon plus que positive était une excellente et brillante idée et le sourire son visage alors qu'il détaillait les oeuvres qu'ils mettraient de l'avant en témoignait. Depuis longtemps déjà, les gens étaient crédules à tout ce qui étaient véhiculés dans les moyens de communications et ne cherchaient que très rarement à voir au delà des lignes, c'était absolument parfait pour augmenter leur popularité et gagner même de nombreux septiques. Ils ne devaient pas partir en guerre contre Barbosa, du moins ne pas le faire visiblement si jamais elle de son côté cherchait à ouvrir la moindre hostilité. Agir ainsi ne ferait évidement que d'augmenter les risques de rebellions. Non il avait raison, après tout s'ils voulaient devenir majoritaires, ils devaient aussi gagner les partisans de Barbosa et pour ça ils ne devaient surtout pas sembler vouloir s'en prendre à elle. Le plus loin des projecteurs ils gardaient la latine, le mieux ce serait.

Toujours attentive aux paroles du dirigeant, Marilyn hochait la tête pour confirmer son appui à la suite de ses attentions. Elle était très tacite depuis le début de cette rencontre, mais c'était avant tout car elle n'avait rien auquel d'objecter. S'assurer d'une majorité forte d'abord était un excellent plan et ce même s'il les raisons pour lesquels Marilyn donnait son appui à Rearden était loin d'être sociales. La partie « faire plaisir au peuple » était barbante, mais hautement nécessaire pour l'atteinte de leurs objectifs futurs. Une parcelle ennuyante qui trouva néanmoins son étincelle dès l'instant où Rearden mentionna des façon de faire subtile, mais efficace le temps qu'ils parviennent à gagner l'affection des votant. Ils seraient en mesure de former cette armée qu'espérait Wilkerson, elle en était plus que confiante. Tournant son regard cette fois vers Jedediah, elle lui adressa un petit signe de tête pour lui confirmer qu'ils feraient tout ça ensemble. James allait sans doute tenter d'aider, Marilyn devinait que c'était pour cette raison que son père l'avait convié à cette petite réunion, mais de son côté elle ne s'en remettait qu'à Jed pour l'atteinte de cet objectif.

« Je crois que c'est tout à fait faisable. Vu l'urgence de la situation et la nécessité que les mesures de sécurités soient renforcées le plus rapidement possible, je suggère de mettre en place nos soldats déjà de confiance aux frontières les plus à rien soit celles du Nouveau-Mexique, de l'Indiana et de l'Ohio. Je discuterai avec Jedediah afin de monter rapidement un plan de recrutement que je viendrai soumettre pour avoir ton aval avant de le mettre en place. En fonction des évaluations, nous pourrons nous séparer les États à visiter et former nos équipes en ce sens. »

C'était là le plus urgent s'ils voulaient se concentrer sur la formation et de les rendre sans failles. Ils avaient déjà plusieurs soldats d'expériences derrière eux pour assurer le temps que tout soit mis en place et qui allaient être portés à s'impliquer à la fois pour accompagner lors des recrutements que pour mettre en place les multiples formations.


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James A. Wilkerson
James A. Wilkerson

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ϟ Métier : soldat ϟ Âge : 30 ans ϟ Race et sang : moldu ϟ Particularité : tireur d'élite ϟ Statut civil : Célibataire

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MessageSujet: Re: INQUISITOR - ft Marilyn, Jed, James   INQUISITOR - ft Marilyn, Jed, James Empty09.05.18 21:52


Inquisitor
ft Red, Jedy & Marilyn


C’était la première fois que James pénétrait dans le bureau de la Grande Inquisitrice qu'avaient occupé la toute première Grande Inquisitrice puis, sa fille. Désormais ce domaine n'était plus celui de la famille Barbosa, mais le leur. Les Inquisiteurs pouvaient désormais compter sur un véritable Leader qui saurait les guider et les protéger comme il se devait, une personne bien plus compétante et responsable que ne l'avait été et ne le serait jamais Camila Barbosa, son père Rearden Wilkerson. Son regard croisa alors le portrait désagréable de la femme qui avait fondé ce parti, la Première Grande Inquisitrice Cécilia Barbosa. Elle semblait les toiser de son regard désapprobateur, comme si elle estimait qu’ils n’avaient rien à faire ici, malheureusement la veille allait devoir s’y faire, car ils n’étaient pas prêt de partir, celle qui disparaitrait avant l’heure ce serait ce stupide tableau qui ne ferait plus long feu accroché au pan de ce mur, il était d’ailleurs surprenant qu’elle s’y trouva encore, mais cela ne durait surement plus, après tout cela ne faisait que 24h que son père avait pris possession des lieux.
Délaissant la vieille peau, qu’il avait, fut un temps lointain, espéré voir se mettre avec son père, James posa son regard sur ce dernier. Rearden Wilkerson avait toujours dégagé de sa personne quelque chose de terriblement intimidant, une autorité naturelle qui s’en voyait désormais renforcé par sa nouvelle charge, mais aussi par cette carrure qui assis derrière ce bureau vous écrasait littéralement, s’en était même suffocant comme sensation.
Ce poste, cette fonction, plus qu'aucun autre, son père l'avait mérité, il était fait pour ça, pour diriger et redonner aux Inquisiteurs ses lettres de noblesse. Il était plus que temps que les sorciers apprennent enfin à rester à leur place, l'ère Barbosa était définitivement terminée et s'ils estimaient qu'elle ne leur avait jamais fait de cadeaux, ils allaient très vite déchanter et la regretter

Depuis qu'il était gamin, James avait grandi dans un environnement des plus hostile envers tout ce qui concernait le monde de la magie. Pourquoi leur serait-il favorable eux qui étaient responsables de la mort de sa mère et de la transformation de son père. Il ne l'avait jamais connu différemment mais les albums photos, prisent à l'époque du vivant de sa mère, y dévoilaient un homme complétement différent, un homme qu'il n'avait jamais eu la chance de connaitre, un homme heureux à qui la vie souriait et non pas un homme brisé. Il n'était pas le seul à avoir vu sa famille être totalement détruit par la magie, par la faute des sorciers, par leur faute un Etat entier avait disparu causant des milliers de morts et de nombreux disparus et il ne parlait même pas du Dôme. Les sorciers étaient dangereux et néfaste pour leur monde, si on les laissait faire, un jour ils le regretteraient tous. Il était plus que temps qu'on les arrête avant qu'il ne soit trop tard. Souhaitait-il pour autant leur mort à tous ? A une époque oui, il l'avait pensé, et voir des sorciers périrent sous ses balles n'étaient jamais vécu comme une douleur mais plutôt comme une nécessité. James était un soldat et par définition faisait ce qu'on lui disait de faire ou ce que l'on attendait de lui. Malgré tout, malgré ses convictions, il était venu en aide à une femme dot il n'ignorait rien de la nature puisqu'il l'avait vu faire usage de sa magie contre un homme, un inquisiteur, mais pour avoir assisté à la scène depuis le début, cet homme qui avait cherché à la violenter n'avait eu que ce qu'il méritait. Il l'avait laissé filé et tout récemment elle était réapparut dans sa vie pour lui rendre la pareille. Cinder était différente de ces monstres et il espérait que où qu'elle se trouve, elle soit en sécurité. Quand à Matthew la seule raison qui l'avait poussé à ne pas dénoncer cette enflure c'était BI et les retombées que toute cette histoire aurait pu engendrer sur la conceptrice d'armure. Il espérait que BI se sépare une fois pour toute de ce manipulateur avant qu'il ne soit trop tard, car autant le sort de Matthew qui les avait tous manipulé l'indifférait totalement et ne servait bien qu'à prouver qu'on ne pouvait pas faire confiance à un sorcier, autant BI était importante pour lui. Malheureusement il avait bien conscience que si elle s'obstinait désormais dans cette relation nocive, il ne pourrait plus rien faire pour elle car ces 3 personnes présentes dans cette pièce ne lui feraient absolument aucun cadeau si elles venaient à découvrir son secret.

Son regard se posa d'abord sur Marilyn une femme séduisante qui n'ignorait rien de son charme et savait parfaitement en jouer. Elle était aussi belle que dangereuse. Manipulatrice dans l'âme, elle ne laissait jamais transparaitre la moindre faille mais s'engouffrait sans la moindre hésitation dans celle que son adversaire aurait eu le malheur de lui dévoiler. Lui faisait-il confiance ? Absolument pas. Elle était une précieuse alliée mais ce n'était pas pour autant qu'il aurait la bêtise de lui confier le moindre secret.
A coté d'elle, était installé un soldat qui inspirait le respect de ses hommes Jedediah. James avait toujours éprouvé une certaine méfiance à son égard. Pour quelle raison ? Aucune en particulière, l’homme était un excellent soldat, aux faits d’armes impressionnants et surtout il était tout dévoué à la cause de son père, de plus il était très apprécié des autres soldats en général, mais c’était ainsi, c’était physique. Il existait entre eux une rivalité silencieuse alimenté pour James par la jalousie que lui inspirait cet homme qui savait se faire apprécier de son père. Et enfin, pour terminer, il y avait son père, cet homme qui se trouvait désormais à un poste fait pour lui. James savait qu'il ferait de grandes choses pour la cause des Inquisiteurs et bien qu'il le soutenait incontestablement une parcelle de lui ne pouvait s'empêcher de redouter ce qu'un tel pouvoir entre ses mains pourrait avoir comme conséquence.

Ce dernier brisa le silence et après avoir fait les remerciements d'usages qui ne le firent absolument pas broncher, son père entra dans le vif du sujet. Il n'y avait aucune surprise à découvrir que le nouvel Grand Inquisiteur était prêt pour les changements et qu'il ne comptait pas perdre une seule minute de son temps en vaines discussions. Il souhaitait attaquer les choses à bras le corps et faire oublier au plus vite l'époque désormais révolu du laissé-allé et du laxisme.
Ces élections, son père les avait gagné à la loyale pourtant, le fait que les résultats fussent si serrés semblait lui faire redouter qu'on puisse chercher à lui nuire raison pour laquelle il ne comptait pas agir dans la précipitation. James ne comprenait pas réellement ce qu'il redoutait tant mais il était sur d'une chose, il n'aurait pas agit différemment et ce même avec 100% des voix. Sa stratégie, qui était d'avoir la main mise la main mise sur les medias était effectivement une excellente stratégie. Comme toujours son père n'avait pas perdu de temps et avait préparé une liste de noms qu'il comptait mettre à la tête des postes clés dans ce domaine. Une liste que James ne prit même pas la peine d'analyser après que Jedediah en eut terminé à son tour. Marilyn avait déjà approuvé cette liste de noms dont la plupart lui était inconnu et si son père estimait qu'ils étaient fiables alors c'est qu'ils l'étaient. A aucun moment, il ne se permettrait de remettre son jugement en cause, de toute manière tout ceci n'était que pure formalité, James était persuadé que Rearden avait déjà pris toutes les dispositions nécessaires à l'égard de ces personnes et qu'il n'attendait pas réellement leur approbation.
Ne pas s'attaquer à la précédente Grande Inquisitrice mais chercher à la faire oublier était le second point fort de son programme. Une stratégie parfaitement raisonné à un détail prêt, parviendraient-ils à faire oublier Camilla Barbosa qui resterait à jamais la fille de la première Grande Inquisitrice et par la même un symbole fort de l'Inquisition ? Personnellement, il en doutait fortement.

Sans la moindre surprise, il constata que son père avait pensé à tout. Outre la préparation d'une campagne anti-magie, il désirait se pencher sur l'aspect social qu'il avait promis et tellement mis en avant au cours de sa campagne. Des promesses qui étaient fermement attendues et qu'il comptait bien tenir. Si James approuva silencieusement les différents rendez-vous que son père avait programmé pour aller en ce sens, il ne put s'empêcher de poser sur son paternel ses grands yeux bleus ronds de surprise en découvrant qu'il désirait le voir l'accompagner lors de son rendez-vous avec le ministre de l’éducation. Il avait beau avoir fait part de son souhait tout le monde dans cette pièce savait qu'en réalité Rearden ne demandait jamais rien, il exigeait. Et James entant que bon soldat, il obéissait sans discuter. Bien que surprit par sa demande, il acquiesça d'un signe de tête pour lui signifier qu'il pouvait compter sur lui. Les points soulevés par son père étaient effectivement nécessaires. La menace allant grandissant, il était plus que nécessaire d'apprendre dès le plus jeune âge à identifier la menace qu'elle soit sorcière ou sous une autre forme. La menace pouvait prendre tellement d'apparence : Si les vampires étaient facilement détectables, et encore pour les vampires, puisque même lui s'était fait manipuler comme un sombre imbécile dernièrement, mais cela il se garda bien de le révéler, et que l'on pouvait très rapidement repéré un loup-garou, il n'en n'allait pas de même pour identifier un sorcier qui n'avaient pas leurs pareils pour se fondre dans la foule alors lorsqu'un sorcier prenait une forme animal les choses se complexifiaient davantage

Les consignes de son père étaient strictes et parfaitement légitime. Ils ne pouvaient pas se permettre d’avoir la moindre bavure provenant de leur équipe s'étaler à la une des journeaux car à n’en pas douter la moindre étincelle mettrait le feu aux poudres et ne servirait qu’à donner des munitions aux partisans de Barbosa. James fronça légèrement les sourcils en entendant son père aborder le sujet concernant le durcissement des frontières et autant dire qu’il ne plaisantait pas. Bien mal avisé serait le fou qui tenterait désormais de pénétrer dans leurs frontières. Loin de s’arrêter là, il comptait interdire le sol Inquisiteur aux envoyés de Washington eux-mêmes dès lors que ces derniers étaient d’essence magique. Inutile d’être devin pour comprendre qu’il faisait illusion à la dernière intrusion de Devaney sur leur territoire et une fois de plus il ne pouvait qu'approuver ces paroles. Washington envoyaient-ils des moldus à Boston ? Il en doutait fortement, ce n'était qu'un juste retour des choses. Là où son père le prit légèrement de cours c’est lorsqu’il aborda avec intransigeance les familles qui avaient le malheur d’avoir un sorcier dans sa famille éloigné ainsi que les cracmols. Pour les cracmols il pouvait comprendre, il les avait en horreur et si ces derniers cherchaient à grossir leurs rangs c’était uniquement pour assouvir leurs revanches face aux sorciers qui les avaient exclus de leur monde, sans ça, ces traitres ne seraient jamais venus les soutenir. James les exécrait aussi mais ils restaient malgré tout un atout non négligeable et bien souvent les plus qualifier pour les renseigner sur les méthodes des sorciers mais également pour certaines missions. Concernant les familles qui avaient le malheur d'avoir un sorcier comme membre éloigné cela ne voulait rien dire, après tout, on ne choisissait pas sa famille et condamner de loyaux partisans à cause de tares familiale n'était peut-être pas un geste des plus judicieux. Certaines personnes pouvaient très bien détester les sorciers, être de bon soldats dévoués à la cause Inquisitorial et avoir malheureusement un mouton noir dans leur arbre généalogique. C’était le cas pour Amelio qui se retrouvait affublé d'un cousin avec lequel toute sa famille avait coupé les ponts parce que ce dernier était sorcier. Devait-il en subir les conséquences alors qu’il était un excellent soldat ? Il comprenait pour quelles raisons son père souhaitait appliquer de tels mesures car c’était dans ce viviers que pouvait se trouver de potentiels traitres mais ce n'était pas une raison suffisante aux yeux du blond… Cependant parler de ça maintenant, s’était remettre en question des décisions auxquels le Grand Inquisiteur se raccrocherait d’autant plus fermement pour ne pas avoir à perdre la face devant témoins

La position de son père envers toutes ces personnes liées de près ou de loin avec des sorciers ne l’étonnait guère mais cela ne faisait que renforcer davantage ses inquiétudes quand au sort de Blue qui se trouvait à un poste à responsabilité et pas n’importe lequel, elle était conceptrice d’amures, autant dire la meilleure défense que les Inquisiteurs possédaient pour faire face aux attaques magiques. Se passer de ses talents serait stupide, mais jamais elle ne pourrait conserver un tel poste si sa relation avec Matthew ou plutôt l’origine magique de Matthew venait à être dévoilé. Ce connard avait pu cacher tout ça sous le gouvernement de Barbosa mais son père allait faire des recherches minutieuses sur chaque soldats et employés qui se trouvaient à des postes aussi important. Caldwell & sons avait beau être une entreprise d’armement privé, elle n’en restait pas moins le principal fournisseur de l’armée et s’ils voulaient avoir encore des commandes ils allaient devoir se soumettre aux exigences du nouveau Grand Inquisiteurs.
Ses sourcils se froncèrent davantage en entendant que son père désirait une armée prête à se déployer pour dans 6 mois très exactement. Pourquoi dans 6 mois ? Qu’est-ce qui allait se passer dans 6 mois ?
Alors qu’il leur demandait ce qu’ils en pensaient James tourna son visage en direction des deux autres personnes installés à côté de lui. Si le visage de Jedediah restait immuable, Marilyn fut la première à intervenir et à en juger par la précision de sa réponse elle y avait déjà pensé et paraissait opérationnel. James n’aimait pas particulièrement qu’elle ne fasse référence qu’à Jedediah pour la seconder dans sa tâche en faisant comme s’il n’était pas là, mais dans le fond il n’avait pas réellement envie de s’investir dans ce plan de recrutement aussi choisit-il de ne faire aucune remarque à ce sujet.

- Ça me convient, fit-il à son tour. Moi j’aimerai qu’on revienne sur un autre point qui est plus que jamais d’actualité : le Cercle. Tout d’abord j’aimerai savoir si tu continues cette mascarade d'enquête avec les autres factions ? Je ne connais pas ta position à ce sujet mais comptes-tu laisser Grayson à la tête de cette enquête pour nous représenter ? C’est une image plutôt dégradante pour nous de laisser ce clown à sa tête. Guère étonnant que les résultats soient si médiocres. A présent que les seuls inspecteurs respectables de cette enquêtes ont été éliminé et qu'il ne reste plus que des sorciers ne devrions-nous pas plutôt refuser de collaborer avec eux ? Personnellement, je doute que les Mages Fondateurs et les vendus de Washington cherchent réellement à démasquer le Cercle. Nous devrions ouvrir notre propre cellule d'enquête pour aboutir à quelque chose si nous désirons vraiment les démasquer. D'ailleurs est-ce judicieux de laisser le dispensaire d’Ari sur place ? C’est à mon sens une perte d’effectif inutile. Nos médecins nous les avons besoin ici et non pas les voir risquer leurs vies inutilement là-bas


Si Ari avait vent de ce qu'il était entrain de dire en ce moment, nul doute qu'elle le scalperait elle-même sur place, mais peu importe. ce n'était pas la première fois qu'ils n'étaient pas d'accord l'un avec l'autre et surement pas la dernière. Lui, il préférait la savoir en sécurité, à l'arrière, que la voir risquer sa vie pour des personnes qui n'en valaient pas la peine


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